Les sujets liés au climat sont des sujets sensibles plus que jamais urgents. De plus, ce sont des questions d’intérêt commun qui ne concernent plus seulement un continent, un pays, une partie du monde ou encore une catégorie de personne.
Ce sont des questions existentielles qui devraient intéresser tout le monde et plus encore les jeunes, qui, j’en ai la conviction profonde, sont le présent qui prépare l’avenir.
La COP est le rendez-vous par excellence de discussion autour de ces sujets hautement importants. La présence des jeunes, de près ou de loin, à ce rendez-vous est primordiale, dans le sens où, plus qu’une initiation, cette rencontre est pour les jeunes un creuset capital pour faire entendre leur voix, être au courant mais aussi au cœur des enjeux et DECIDER de leur avenir, en tant qu’acteurs majeurs. Après tout, les jeunes restent le présent qui prépare l’avenir.
La contribution du Bénin aux différentes COP passées, on peut le dire, a été surtout été basée sur les riches recommandations, les apports qualitatifs aux débats et aux solutions possibles pour permettre au monde d’espérer une sortie de crise, parce que oui, le monde est en crise climatique.
Les délégations du Bénin, grâce à leur ressources l’intellectuelles, ont su se faire remarquer par l’activisme et la consistance de l’engagement pour cette cause.
A la COP 27 imminente, prévue pour se tenir en Egypte, le Bénin pourrait, et cela est largement adressable, une fois encore se faire entendre et surtout se hisser au rang des pays fortement impliqués dans ce combat.
La prise en compte des recommandations et l’application de mesures bénéfiques pour tout le monde, pourrait permettre au Bénin, qui est un pays sensible aux changements climatiques, de voir réduire à long terme le poids de ces changements, mais aussi mieux faire face à ces implications.
Pancras Zountchégbé
